50 ans après (15/12/2017)
A l’interstice de l’activité et de la retraite, le salon Monique dans un coin typique du vieux Paris où l’on passe.
Christine et Suzon cultivent l’art subtil du dazibao après celui du peigne et des ciseaux.
Aux badauds qui photographient, les miroirs de la boutique renvoient l’image de la rue.
Monique, Suzon, Christine, cinquante ans c’est pas triste ! C’est l’ii qui vous le dit. Bienvenue au club des désœuvrées heureuses ! Vous pour qui la fidélité fut la frisette du labeur.
16:52 | Tags : l'internationale intersticielle | Lien permanent | Commentaires (0)