Image de la jungle interstiCielle. Ce malicieux carton de la Fondation Abbé Pierre qui a le mérite de ne pas nous servir une vision déficitaire des sans abri. Il n’y a guère une voix jupiterienne proclamait : « je ne veux plus (…) avoir des hommes et des femmes dans la rue, dans les bois ou perdus (…) ».
Dernièrement une quinzaine d’ONG constatent pourtant dans la presse : « des milliers de personnes (…) se partagent les interstices des villes, s’abritent sous des échangeurs, sont échoués sur les trottoirs de Paris et son immédiate périphérie ».