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Inculte et barbare

« Avec Restif, bien plus qu’avec Rousseau, la littérature décide de mettre le savoir dans l’ignorance, la vérité dans l’absence d’art et la dignité du style dans la recherche d’une forme naturelle et s’il le faut, inculte ou même barbare »

Maurice Blanchot, Préface à Sara ou la dernière aventure d’un homme de quarante-cinq ans de Nicolas Rétif de La Bretonne, Stock 1984, page 42.

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