On ne parle que du canard. Le canard toujours sauvage naturellement. Mais les Enfants du bon Dieu ont aussi leur charme interstiCiel.
Dans le roman d’Antoine Blondin qui porte ce titre, Sébastien Perrin, le personnage principal, cherche quoi faire à Paris. Il constate avec désenchantement : « à part l’exposition de la Galerie Charpentmann ouverte à Un demi-siècle de peinture aphasique, il n’y avait pas grand chose à voir ».
Bien sûr cette galerie reste la propriété imaginaire de l’auteur. La peinture aphasique, en revanche, est un rêve que l’on peut partager avec lui.