Dans la série : Les choses qu’on aimerait voir, évoquons aujourd’hui Le Pardon de Biroulic. Nos archives ont conservé trace de cet objet interstiCiel mentionné dans une brochure sur les faïences de Quimper consultée, il y a plus de vingt ans, dans une exposition du Musée départemental breton.
Citons : « (…) sortis des fours de Locmaria, des assiettes et des plats à ne pas mettre entre toutes les mains. Ainsi Le Pardon de Biroulic représentant une sulfureuse procession d’organes sexuels masculins. Dessiné par un psychiatre quimpérois et produit sous le manteau après la fermeture des ateliers, ce plat produit à 8 exemplaires n’est pas signé bien qu’il semble établi qu’il sorte de chez Henriot ».
Ceci pour lancer plusieurs bouteilles à la mer au cas ou quelqu’un sache qui est ce psychiatre ou qu’un de nos lecteurs puisse nous éclairer sur Biroulic. Et que -pourquoi pas ?- notre note fasse remonter l’image de ce coquin de plat à la surface.